Pluie quasi torrentielle au rendez vous

Nous quittons la petite plage encore fraîche de l'écume des vagues, pour tenter une approche de déjeuner, dans une région désertique et désertée par les touristes à cette époque de l'année, donc rien n'est ouvert.

Une petite ville qui l'été, doit multiplier sa population par 4 au moins, Zambujeira. En sortant de la voiture douche fraîche de la pluie qui est bien là, installée depuis une heure au moins.
Néanmoins, à l'abri d'une terrasse plastique nous regardons l'océan qui se déchaine de plus en plus en savourant nos salades de poulpes et de coques...

Que pouvons nous faire si ce n'est boire un café, et tenter de nous rapprocher de Lisboa. Nous choisissons sur la carte Almograve, là bas il y a une auberge de jeunesse que l'on espère aussi confortable que celle de Tavira.
Almograve, ville un peu "glauque" sous la pluie, où il ne semble rien y avoir à faire si ce n'est contempler l'Océan complètement déchainé cette fois.

 Encore la présence de la couleur orange faites pour nous, jusqu'à présent c'est notre couleur portugaise assortie à nos bagages...jusqu'au tableau de poissons rouges qui nous donne envie de partir....loin de cette petite ville où il n'y a décidément rien à faire.

 Faute de soupe, nous dînons un repas fait de fromage, salade de tomates et olives...léger dans un restaurant vide, ambiance très étrange.

Samedi 3 novembre après notre petit déjeuner, départ pour dire au revoir à l'Océan et rejoindre Lisboa,

 la capitale de Lusitanie qui nous attend.

J'aime bien le nom Lusitanie, cela résonne dans mes oreilles, comme une petite merveille, comme une perle nacrée de mon collier, comme un bijou précieux que l'on a envie de garder près de soi.